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LE MAB UNESCO. DE QUOI S’AGIT-IL ?
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MAB: Chi Siamo
En
1971
, l’assemblée générale de l’UNESCO a approuvé la création d’un programme intergouvernemental dénommé « Man and Biosphere » (MaB), « L’homme et la biosphère ».
Le programme est le résultat de la proposition d’un groupe de scientifiques de différents pays qui, en quarante ans, s’est transformé en un ensemble complexe d’
activités de recherche appliquées à la gestion des écosystèmes terrestres et aquatiques.
Plus que par ses activités scientifiques, le programme MaB est connu pour avoir créé un
réseau mondial de « Réserves de biosphère »
(« Biosphere Reserves »).
Leur nombre, en constante augmentation, est actuellement de
580
réparties sur
580
pays. Les zones reconnues sont des t
erritoires aux typologies paysagères variées
(des déserts aux parcs urbains) et
aux dimensions les plus diverses
(de quelques hectares à plusieurs kilomètres carrés).
Moins « fameuses » que les sites du patrimoine mondial,
les réserves de biosphère partagent le même « toit » : celui de l’Unesco.
L’agence des Nations-Unies abrite le secrétariat du programme MaB qui en garantit le bon fonctionnement. Une définition simple mais précise des réserves de biosphère a été formulée, en juin dernier à Dresde, par la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, qui, à l’ouverture des travaux du quarantenaire du programme, a déclaré :
« Les réserves de biosphère sont un réseau fonctionnel de laboratoires à ciel ouvert ».
L’
Italie
- qui a largement contribué à la création du programme MaB et à son lancement dans les années soixante (le professeur Di Castri, écologue, en a été le premier directeur et le professeur Valerio Giacomini, botaniste, l’un des plus brillants animateurs scientifiques) -
compte actuellement 8 réserves
de biosphère, réparties sur différentes régions de la péninsule.
Il s’avère intéressant de noter l’essor que le programme MaB a récemment eu en Italie. En effet, l’an dernier, cinq
nouveaux territoires
(la Province de Syracuse, le delta du Pô, la Côte amalfitaine, la Sila, outre, évidemment, le parc du Pô de Coni) ont manifesté l’
intention d’entreprendre la démarche de candidature
afin de devenir les prochaines réserves de biosphère italiennes.
Pour de plus amples informations :
http://www.unesco.it/cni/index.php/scienze-naturali/biosfera